En tant que radioamateur, je pratique, en parallèle avec l’astronomie, la radioastronomie amateur. J’utilise pour cela mes appareils radioélectriques conditionnés pour l’écoute de divers bruits galactiques : bruit solaire, écho des chutes des météorites "les étoiles filantes", de Jupiter, etc. et autres radiogalaxies. Cette pratique offre, par rapport aux autres lumières, la possibilité de travailler sur des fréquences différentes.
La réception est caractérisée par la sensibilité du récepteur, de l’antenne – qui agit comme un collecteur d’onde radioélectrique – le convertisseur analogique-numérique (C.A.N.) et l’ordinateur : je néglige volontairement les imperfections matérielles (câble coaxial, récepteur, etc.).
À la différence des professionnels, et de certains radioamateurs, qui utilisent des paraboles – plus ou moins volumineuses -, les radioastronomes amateurs, dont je fais partie, utilisent de simples antennes : dipôles, verticales, Yagi voir des petites paraboles… À partir de ces écoutes, il est possible de détecter, à tout instant, l’activité météoritique traversant l’espace ou d’autre phénomène intergalactique. Il est également possible d’étendre cette réception sur d’autres objets spatiaux comme les satellites : dont la station spatiale internationale "ISS".
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